

Nicolas c’était quand nôtre première rencontre ?
Tu étais présent sur le marathon de Berlin 2012 et intervenait pour VO2 max voyages .Les interventions pertinentes sur le marathon ont aidé !
Qu’es-tu venu chercher dans le coaching sportif ?
La compréhension de la course et de l’impact de la diététique sur les performances sportives .Une amélioration des performances et un meilleur équilibre de vie .Ainsi j’ai opté pour une formule sur 6 mois de type SP1 .
L’objectif est-il atteint ?
Oui record sur Marathon de Lyon en 3H36, une vitesse de course aussi bien à l’entraînement qu’en compétition inconnue jusqu’alors.
En plus de l’objectif primaire ce coaching t’a apporté quoi ?
Une perte de poids de 9kg, une plus grande endurance psychologique qui curieusement me sert bien au-delà du sport ! Une fréquence au repos qui passa en 6 mois de 49 à 41 !!!
Depuis nôtre collaboration ce qui a changé pour toi ?
Une vie où diététique, travail et sport sont plus en harmonie !
En pratique cela ce passe comment par rapport aux plans que l’on trouve sur internet, ou dans les clubs ?
Je connaissais comme beaucoup des plans que l’on trouve sur internet .Mais avec Jean Pierre c’était aborder des thèmes personnalisés, intégrer du vélo et du gainage pour parfaire ma condition physique et gagner du temps dans ma préparation .Et surtout une adaptabilité en fonction de mes envies et de mes contraintes et ça, ça change tout !
Merci Nicolas pour ton vécu sur nos 6 derniers mois !
Continues à progresser et on reste bien sûr en contact notamment par Facebook pour suivre tes aventures et celles des sportifs WTS. JP CAMM
Bilan très positif pour ce week-end des Templiers :
Samedi sur le Marathon des Causses (38 km, 1700 m), Matthieu Zanesi monte sur la 3ème marche du podium avec d’excellentes sensations tout le long de la course ! Son suivi de la variabilité de fréquence cardiaque de ces derniers jours laissait déjà présager de bonnes choses. Juste récompense pour ce coureur sérieux et appliqué lors de toutes les séances proposées.
Le lendemain sur le Grand Trail des Templiers (73 km, 3400 m), Yann Mondot termine à la 30ème place. Bonnes sensations pendant les 50 premiers km puis plus difficile avec des crampes dans les descentes sur toute la fin de course. Mais, l’essentiel pour lui était de découvrir et d’apprendre pour une première fois sur une distance aussi longue.
Bravo à tous les deux 😉
Quand je me suis inscrit pour la Haute Route Alpes en février 2013, je l’ai fait un peu nonchalamment, comme ça, car j’aime la montagne! Une fois arrivé au mois de mai, je me suis dit qu’il fallait commencer à être sérieux, et là j’ai pris contact avec Jean-Baptiste Wiroth qui m’a concocté un programme sur mesure sans lequel je serais toujours en train de pédaler aujourd’hui…
J’arrive au départ de la Haute Route au pic de ma forme, et surtout avec un peu moins de 3.000km les 12 mois précédents. Ma préparation m’a permis d’enchainer les étapes sans problèmes majeurs, et finir les 7 étapes dans de bonnes conditions et surtout dans les temps. Pari et objectif réussis. Sans Jean-Baptiste, je n’y serais certainement pas parvenu…
J’ai décidé d’enchaîner avec Jean-Baptiste pour la saison 2014 et d’essayer d’autres disciplines comme le Triathlon… en attendant la Haute Route 2015 !
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Par Jean-Baptiste WIROTH, PhD
Docteur en Physiologie de l’Exercice
Fondateur du réseau de coach WTS
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Traditionnellement les sportifs observent une période de coupure hivernale afin de permettre à l’organisme de se régénérer. La durée et le positionnement dans le calendrier de cette période de régénération sont essentiellement dictés par l’état de fatigue du sportif.
L’objectif principal de la période de coupure est de « recharger les batteries » en vue de la nouvelle saison. Sous cette expression un peu simpliste se cache en fait une réalité beaucoup plus complexe. En effet, dans une logique annuelle d’entraînement, la coupure automnale permet d’assimiler la charge d’efforts (entraînement et compétition) effectués au cours de la saison écoulée. Par conséquent, il faudra songer à se reposer avant de repartir sur la préparation de la nouvelle saison.
👉🏻 Sur le plan méthodologique, la coupure doit être programmée en respect du principe fondamental d’alternance entraînement/récupération. Ce principe vise à favoriser la progression du sportif, mais aussi et surtout à éviter les états de surentraînement.
👉🏻 Sur le plan physiologique, l’objectif de la coupure est de permettre à l’organisme de récupérer, a fortiori si l’état de fatigue est prononcé. Dans un tel cas de figure, la récupération se traduira sur le plan hormonal (diminution de la sécrétion de cortisol – l’hormone du stress psycho-physiologique – par exemple), sur le plan neuro-végétatif (retour à une fréquence cardiaque de repos basse par exemple), et sur le plan musculaire (diminution des douleurs musculaires ou de la sensation de jambes lourdes…).
👉🏻 Sur le plan psychologique, la coupure permet de mettre de côté votre activité pendant quelque temps, ce qui permet de se consacrer à d’autres pôles d’activités (famille, travail, loisirs non-sportifs…etc).
La durée optimale de la coupure est généralement comprise entre 1 et 3 semaines.
Le moment idéal doit être défini en tenant compte de ce qui a été effectué au cours du mois de septembre et des objectifs futurs. La coupure a souvent lieu entre le mois d’octobre et le mois de décembre.
Si vous avez du mal à faire un choix entre ces 3 options, rappelez vous qu’il vaut mieux en faire « un peu moins que un peu trop » lorsque l’on est un sportif bien occupé par ailleurs (famille, travail…etc).
Il ne faut pas confondre le surentraînement et la fatigue aiguë liée à l’entraînement. Le surentraînement se caractérise par une baisse inexpliquée des performances, impossible à corriger en dépit d’une longue phase de repos. La fatigue aiguë s’accompagne aussi d’une baisse des performances mais s’avère être réversible après une période de repos de quelques jours.
Un entraînement excessif, que ce soit en volume et/ou en intensité, est souvent à l’origine du syndrome de surentraînement. Si le nombre de compétitions est trop important, le risque de surentraînement est encore plus prononcé du fait de la contrainte psychique qui s’ajoute à la contrainte physique. Le surentraînement est fortement potentialisé par les sources de stress liées à la vie quotidienne (activité professionnelle éprouvante, vie familiale intense, problèmes divers…).
Il faut compter 5 à 15 jours pour effacer un état de fatigue aigüe, et 3 à 18 mois pour récupérer d’un état de surentraînement. Un état de surentraînement profond peut déboucher sur un syndrôme de fatigue chronique qui est une pathologie rare, très difficile à traiter..
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